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Suite à une filature des services de renseignement à la solde du régime de M. Alpha CONDE, des unités de police ont procédé à l’enlèvement, ce mardi 16 juillet, de M. Oumar SYLLA, l’un des principaux responsables du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) et fervent défenseur de la Constitution. Cet enlèvement est survenu dans un quartier de la banlieue de Conakry alors que M. Sylla récupérait des T-shirts du FNDC destinés à la sensibilisation contre la promotion du troisième mandat en cours et ses conséquences dramatiques pour notre pays.

Quelques temps après, M. Sékou KOUNDOUNO, l’un des membres fondateurs du FNDC, parti s’enquérir des nouvelles d’Oumar SYLLA à la direction de la police judicaire (DPJ), a été interpellé en violation de toute procédure légale. Ces deux membres du FNDC se sont retrouvés séquestrés illégalement plusieurs heures durant dans les locaux de la DPJ.

Face à cette dangereuse provocation qui risque d’être celle de trop, le FNDC invite toutes ses antennes des communes, préfectures et quartiers de Guinée, ainsi que toutes ses représentations dans les Pays étrangers, à rester vigilantes et à se tenir prêtes pour répondre, avec la plus grande vigueur aux intimidations et harcèlements

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Lors de la nuit du destin qui se célèbre le vingt septième jour du mois de ramadan, un imam de la ville de Kankan, en l’occurrence Nanfo Ismaël Diaby, lit et commente le coran en langue nationale maninka devant ses fidèles. Ce qui aurait pu paraître anodin va rapidement prendre l’allure d’un scandale religieux qui agite la cité et au-delà tout le pays. Ledit scandale a éclaté les jours suivants quand les gens ont découvert sur les réseaux sociaux la vidéo de la prière postée certainement par un des fidèles.

La ligue islamique régionale de Kankan, partant du dogme que le coran doit obligatoirement être lu en arabe avec si possible un commentaire dans une autre langue, prend aussitôt la décision d’interdire à l’imam Diaby toute prêche dans les mosquées et toute chronique religieuse dans les médias, et ce jusqu’à nouvel ordre. Par ailleurs des gens n’hésitent pas à proférer des menaces de mort à l’imam. Ainsi la décision ne manque pas de créer un débat plus ou moins houleux entre les citoyens qui l’approuvent et ceux qui la dénoncent. Ça ne peut en aucune manière laisser indifférent tout citoyen, musulman ou pas, désireux de la préservation des libertés et des droits fondamentaux qui constituent le socle de toute démocratie véritable.

Cette affaire n’interpelle personnellement parce que j’y vois une atteinte intolérable à la constitution de la république, notre loi fondamentale. Celle-ci déclare en effet en plusieurs de ses articles la laïcité de l’Etat guinéen ainsi que les libertés d’opinion et d’expression. Les juristes explicitent ces différents articles en disant à propos de la laïcité de l’Etat qu’il en résulte l’égalité de droit d’exister de toutes les religions pratiquées en Guinée, l’Etat ne se doit pas d’intervenir dans l’organisation et le fonctionnement des affaires religieuse et en retour celles-là doivent se garder d’interférer dans les affaires de l’Etat. Pour ce qui est des libertés d’opinion et d’expression, il est reconnu à tout citoyen guinéen d’avoir son opinion et de l’exprimer librement sur tous les sujets y compris la religion. Même la liberté de ne pas avoir de religion, autrement dit d’être athée, est garantie par la loi.

Le malheur est que notre constitution est régulièrement violée et par l’Etat et par les citoyens. Par exemple l’Etat a tort de créer un secrétariat d’Etat aux affaires religieuses ou de

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