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Ce mercredi matin, la Cour d’appel de Conakry est le théâtre d’une audience sous haute tension. Avocats, journalistes et militants se pressent dans une salle bondée pour suivre le procès en appel d’Aliou Bah, leader du parti ModeL, condamné en première instance pour "offense et diffamation contre le chef de l’État".

Un dossier hautement politique qui pose une question cruciale : la justice guinéenne est-elle encore au service du droit ou s'est-elle muée en instrument de répression ?

Un tribunal sous pression

Face à la présidente de la Cour, Hadja Fatou Bangoura, Aliou Bah reste droit dans ses bottes. "Ces charges sont infondées. Mon combat a toujours été celui des idées, dans le cadre de la loi", martèle-t-il d’une voix assurée. Mais pour le pouvoir, la critique a franchi la ligne rouge.

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Conakry, 21 mars 2025 – L’ombre de la justice plane désormais sur Mohamed Lamine Bangoura, ancien président de la Cour constitutionnelle. Ce vendredi, le parquet spécial près de la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) a confirmé, lors d’une conférence de presse, que l’ex-haut magistrat est poursuivi pour des faits présumés de détournement de fonds publics, enrichissement illicite et blanchiment de capitaux.

Dans la salle bondée du tribunal, les journalistes sont suspendus aux lèvres du substitut du procureur, Malick Marcel Oularé. D’un ton ferme, il annonce que le dossier est actuellement en phase de réexamen devant la chambre de l’instruction. L’affaire porte sur un montant colossal : 20 milliards de francs guinéens.

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