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JT 16 JANVIER 2025 | JA 16 JANVIER TV5MONDE | CLIP DU JOUR! |
Une agence de presse locale a pris sur elle la responsabilité de débiter une grossière fable sur le compte de la Brigade mobile régionale des douanes, accusant ses agents chargés du contrôle des camions remorque, de faire leur miel sur les chauffeurs de ces gros porteurs, sortant du port container.
Après vérification sur le terrain, il s’avère que ces allégations soient d’un ridicule achevé.
La dépêche avec une légèreté du café du commerce, rapporte plutôt des ragots prêtés à un soi-disant transitaire et à un gabelou fictif.
D’après cette histoire de fou, ‘’une brigade de contrôle des camions –remorque érigée entre la bretelle du Secrétariat Général aux Affaires Religieuses et le Ministère de l’Energie fait payer 50.000 à 100.000 francs guinéens à tout camionneur empruntant cette voie’’.
Un racket qui oscillerait entre 50.000.000 et 100.000.000 de francs guinéens par mois, selon ces allégations.
Interpellés sur la question, le responsable syndical du transport au port autonome de Conakry, Fodé Sanoh, dit tomber des nues. Il a donc démenti de façon formelle ces insinuations dont le seul but serait de mettre en doute la bonne moralité des responsables de la direction générale des douanes.
« En ce qui nous concerne, nous syndicalistes, je tiens à dire que le processus de contrôle de la sortie des camions ne se fait pas à notre insu. Nous y avons des représentants sur place, qui veillent au grain. La douane exige simplement des documents aux conducteurs de camions et pas plus. Aucun montant n’est soutiré aux
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Invité chez nos confrères de Lynx FM, ce lundi 8 juin 2020, l’ex président de l’UDD estime que cet acte est une manière pour le FNDC de légitimer la nouvelle Assemblée Nationale. Monsieur Bah pense qu’il y a plusieurs conséquences d’une telle initiative. « Or, nous avions dit que nous ne reconnaissons pas cette assemblée pour les conditions que vous connaissez, ça c’est un », a entamé Bah Oury
Deuxièmement, poursuit-il, en s’intéressant simplement au code électoral et à la disposition du protocole de la de bonne gouvernance de la CEDEAO pour dire que : pour une élection, il ne faut pas procéder à un changement 6 mois avant le scrutin, cela veut dire que certains d’entre nous mettent en avant une participation à une élection présidentielle au lieu de s’intéresser à la mise en place de meilleures conditions pour que le processus politique puisse évoluer normalement, ça c’est le deuxième aspect.
« Le Troisième aspect, qui est l’un des plus importants, au moment où il y a un vide constitutionnel du fait de la falsification notoire du texte qui a été proposé par le pouvoir et qui a été publié dans le journal officiel de janvier 2020 pour dire : voilà le texte que le pouvoir propose au peuple pour un référendum et qu’il ait eu ce référendum dans les conditions que nous connaissons et qu’il y ait un autre texte qui soit différent du texte proposé, qui a été promulgué, les juristes appellent cela un crime contre la confiance publique ; donc, ça introduit un vide juridique et un vide constitutionnel. Dans un processus normal de fonctionnement d’un Etat, tous les actes gouvernementaux commencent pour : vu la constitution de la République de Guinée, à partir du moment on
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