Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.
JT 16 JANVIER 2025 | JA 16 JANVIER TV5MONDE | CLIP DU JOUR! |
Dans un entretien accordé à nos confrères de Lynx fm, vendredi dernier, Cellou Baldé de l’Union des forces démocratiques de Guinée ne fait pas dans la dentelle quand il s’agit de parler du chronogramme proposé par la CENI pour la tenue des élections présidentielles. De la CENI à la Cour Constitutionnelle, en passant par le gouvernement, l’ex député uninominal de Labé met les pieds dans le plat.
Cour Constitutionnelle, une institution caporalisée…
« Alpha Condé a déjà tout (...). La cour constitutionnelle a été complice de tous les coups fourrés qui ont été perpétrés ces dernières années dans notre pays. Qu'est-ce qui justifie l'éviction de Kélèfa Sall de la cour constitutionnelle ? Aujourd'hui, il (Alpha Condé, ndlr) veut davantage contrôler toutes les institutions de notre pays.
Ce sont des lois liberticides qui sont en train d'être prise au niveau du comité central du RPG-AEC. Ils sont en train de tout falsifier ».
Présidentielle au 18 octobre 2020 ?
« Nous savons pertinemment que le chronogramme a été fait de façon unilatérale. C'est un chronogramme que nous contestons, c'est un chronogramme irréaliste, non-consensuel.
La CENI ne peut pas aller fixer la date et puis revenir dérouler les activités... La cour constitutionnelle n'a pas cette compétence de permettre à la CENI de supprimer certains délais légaux. Ce n'est pas possible. Le délai établi par la loi, il y'a des préalables qui sont aussi dans la loi. C'est la loi qui dit que les électeurs doivent être recensés, c'est elle qui dit qu'il faut que tous les Guinéens qui sont en âge de voter puissent voter, elle dit aussi clairement qu'il faut permettre aux citoyens de pouvoir vérifier s'ils sont sur les listes électorales ou pas. Donc, on ne peut pas supprimer certains Guinéens et permettre à d'autres d'être enrôler.
Il faut le dédoublement en amont, cela va permettre la redistribution correcte des kits entre les différentes circonscriptions du pays ».
Add a commentL’humanité célèbre ce vendredi, 19 juillet 2020, la journée internationale de sensibilisation contre la drépanocytose. L’occasion devrait être mise à profit pour se pencher sur les difficultés que rencontre les malades et les problèmes liés au traitement de cette maladie dans notre pays. Pour parler de ça, notre reporter a donné la parole a Thierno Saliou Keita secrétaire administratif de drépanocytaires en Guinée. Interview.
Bonjour M. Keita : Quel sont les problèmes que vous rencontrez au court de traitement de cette maladie ?
Nous rencontrons assez des problèmes sanitaires parce que cette maladie, est une maladie qui est accompagnée des complications, nous avons la complication qu’on appelle la nécrose que moi, j’ai. Qui fait que la tête de l’os… se détruit raison pour laquelle je marche avec des cannes, il y a d’autre complication qu’on appelle le priatisme, ça c’est les érection à longue durée, chez les garçons, il y a une complication qui est les douleurs au niveau des membres et des articulations qui est souvent fréquent chez nous les drépanocytaires, vous pouvez rencontrer des enfants et des jeunes qui souffre de ces douleurs, nous rencontrons souvent ces problèmes, c’est une complication.
Nous rencontrons aussi au niveau des soins, c’est que c’est une maladie qui n’est pas facile à gérer parce que, ce ne sont pas tous les médecins qui sont spécialistes en traitement de la drépanocytose, il faut des médecins spécifiques, des vrais spécialistes. Dieu a fait que Dr Dramé spécialiste soit là au centre de drépano-guinée ; raison pour laquelle les drépanocytaires viennent vers lui.
Il y a autre complication qui est niveau de financement parce que c’est une maladie qui coûte cher, imaginer quelqu’un qui tombe malade à plusieurs reprises dans l’année. S’il y a manque de sang au niveau d’un drépanocytaire, ça cause des problèmes. Et les drépanocytaires sont souvent exposés à ces problèmes de manque de sang.
Qu’est-ce que vous trouvez comme solution ?
Nous demandons d’abord à l’Etat d’introduire la prise en charge des drépanocytaires dans leur programme de développement national sanitaire, et des personnes aussi de bonne volonté de
Add a comment